Mutations 2024: faire ses (bons) choix avec le SNETAA !

 

MUTATIONS 2024

 

MOUVEMENT INTRA-ACADEMIQUE

Pour les adhérents candidats à une mutation ou à une première affectation

Sur rendez-vous téléphonique ou en visio

Secrétariat académique

Tél : 0384784099 - 0608238822

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Bac Pro: note de service parue au B.O. n°11 du 14 mars 2024

Parcours de préparation à l’insertion professionnelle et à la poursuite d’études supérieures en classe de terminale de baccalauréat professionnel

À compter de la rentrée scolaire 2024, pour les élèves en formation sous statut scolaire dans les établissements publics et privés sous contrat, l’année de terminale est composée de différents temps couvrant trente-quatre semaines de formation auxquelles s’ajoutent deux semaines d’examen :

    - septembre à mi-mai, un tronc commun avec :
        vingt-deux semaines de cours d’enseignements général et professionnel ;
        six semaines de périodes de formation en milieu professionnel (PFMP) obligatoires pour la certification ;
   - mi-mai à début juillet, un parcours différencié de six semaines qui n’entre pas dans le cadre des évaluations certificatives :
        - parcours de préparation à l’insertion professionnelle : il poursuit l’objectif d’un renforcement des liens entre formation et emploi par l’accroissement de la professionnalisation et l’amélioration de l’insertion professionnelle des élèves. Il vise à mieux accompagner les élèves dans leur projet professionnel en allant au-delà du diplôme pour faciliter cette transition complexe entre la formation et l’emploi ;
        - parcours de préparation à la poursuite d’études supérieures : l’objectif est de favoriser la poursuite et la réussite d’études supérieures après le baccalauréat. Les études supérieures comprennent les formations préparant aux diplômes à compter du niveau 5 (BTS), y compris lorsqu’elles sont suivies en apprentissage.

Mobilisons-nous massivement le 1er février 2024 pour faire reculer la réforme des LP

Depuis plus d’un an, une intersyndicale large et unie, dénonce la réforme des lycées professionnels et s’organise pour la combattre. Notre mobilisation et notre détermination ont permis des reculs de la part de la ministre déléguée C. Grandjean. La grève du 12 décembre, comme premier élan, a été une réussite en termes de mobilisation et de visibilité médiatique. Le 1er février, il nous faut augmenter la pression car cette réforme s’annonce dévastatrice pour les élèves et les personnels de lycée professionnel.

La nouvelle ministre Amélie Oudéa-Castéra, par son entrée en matière démontre, qu’elle se soucie peu de la défense de l’École publique. L’enseignement professionnel, qui en est une spécificité, est sans aucun doute encore plus éloigné de ses préoccupations.

Pour la CGT Éduc’action, le SNETAA, le SNUEP-FSU, le SNES-FSU, le SNEP-FSU, le SNALC, SUD éducation et la CNT-FTE, la mise en place de cette réforme, dès la rentrée 2024, sur l’ensemble des niveaux du bac professionnel est brutale et irresponsable. La suppression de 170 heures de cours pour nos élèves est inacceptable et va entraîner une baisse conséquente des dotations horaires. De plus, avec la désorganisation complète de la classe de terminale bac pro, année pourtant cruciale pour l’obtention du diplôme, C. Grandjean a orchestré le basculement de nos métiers et des lycées pros vers du formatage à l’emploi. La volonté d’élaborer la carte des formations en fonction des besoins locaux d’emplois va dans le même sens. À terme les suppressions de postes et les reconversions forcées vont se multiplier, et notre statut sera remis en question.

Alors que le texte transformant la grille horaire de bac pro et supprimant des heures de cours a été rejeté massivement lors de la séance du Conseil supérieur de l’Éducation du 8 janvier (52 contre, 17 abstention, 0 pour !), l’arrivée des premières dotations horaires dans les établissements confirme son application. Pour autant, nous sommes déterminé·es à faire reculer cette réforme libérale et à imposer un véritable dialogue social concernant l’avenir du lycée professionnel.

C’est pourquoi la CGT Éduc’action, le SNETAA-FO, le SNUEP-FSU, le SNES-FSU, le SNEP-FSU, le SNALC, SUD éducation et la CNT-FTE appellent les collègues des lycées professionnels à se mobiliser massivement le 1er février 2024 et à rendre visible, ce jour-là, par des initiatives locales, les revendications pour la défense de la voie pro.

Mobilisation le mardi 12 décembre pour le lycée professionnel

L’intersyndicale voie pro exige le retrait du projet de réforme Grandjean contre le lycée professionnel

La ministre déléguée à l’enseignement et la formation professionnels s’arcboute sur ses positions de
casse du lycée professionnel en voulant imposer une dégradation brutale et scandaleuse de la classe
de terminale. Le calendrier imposé est de surcroît intenable et irrespectueux du travail des personnels
car la mise en œuvre de ce projet est envisagée dès la rentrée 2024.
Concrètement, le parcours commun des élèves de lycée pro serait diminué de 6 semaines et les
épreuves aux examens avancées afin d’introduire un parcours personnalisé de 6 semaines. Ce projet
est bien une forme de recyclage de l’échec criant du bac Blanquer.
Après un bac pro 3 ans, c’est un bac pro 2,5 ans, voire 2 ans qu'organise le ministère. Au prétexte de
diversification, le ministère détournerait un grand nombre d’heures de cours pour répondre à une
commande présidentielle : augmenter le nombre de semaines de stages. Inacceptable quand nos
élèves ont besoin de plus et mieux d’école. C’est toute l’architecture du bac pro qui est laminée.

Pour stopper ce démantèlement organisé de nos lycées pros et contre cette dégradation de la classe
de terminale nos organisations mèneront le combat en intersyndicale.
L’intersyndicale voie pro SNETAA-FO, CGT Éduc’action, SNUEP-FSU, SNEP-FSU, SUD Éducation, SNALC,
CNT appelle tous les personnels à échanger et organiser partout des heures d’information syndicale
et des assemblées générales d'établissement pour préparer et réussir une mobilisation d’ampleur le
mardi 12 décembre pour exiger le retrait de cette réforme des lycées pros

Communiqué du 20 octobre 2023

Ce qui attend les PLP et l’enseignement professionnel : s’unir pour les sauver !

LE MINISTÈRE RECYCLE EN PIRE L’ÉCHEC DU BAC GÉNÉRAL POUR LE LYCÉE PRO
Le ministère a dévoilé cette semaine son projet scandaleux d’une réforme systémique du baccalauréat professionnel dont la casse de la classe terminale pour la rentrée 2024.
Dans le contexte social tendu où personnels comme élèves ont besoin de sérénité, de plus et mieux d'école pour faire réussir tous les jeunes, ce projet constitue une véritable provocation contre les collègues et met en péril l'avenir des jeunes.
En l’état actuel du projet, la période de septembre à mars serait exclusivement consacrée aux cours,sans aucune période de formation en milieu professionnel (PFMP). Durant cette période, se dérouleraient également les épreuves d’examen des disciplines générales en contrôle en cours de formation (CCF) en Maths-Sciences, LV1, LV2, Arts Appliqués et EPS. Les épreuves ponctuelles de Français, Histoire-Géographie-EMC, Éco-Gestion ou Éco-Droit seraient également avancées en mars.
Alors que le ministère a reculé sur la réforme du bac GT devant le fiasco des épreuves anticipées, il s'apprête à récidiver.

Télécharger le communiqué de presse

Réunions mutations...

Chers, chères collègues,
Nous vous invitons à participer à une visioconférence d'échanges sur les mutations. Chaque session durera environ 2 heures. Les intervenants seront Marie-Ange Aubry, Muriel Wendling, Fabrice Costes et Jean-Marie Tartare.
 
Ces échanges se dérouleront soit le mercredi 8 novembre de 14h à 16h, le jeudi 9 novembre de 09h à 11h et le vendredi 10 novembre de 9h à 11h.
 En fonction de vos disponibilités et afin de faire des groupes équilibrés, merci de vous inscrire rapidement avant le vendredi 20 octobre.
 
Au plaisir d'échanger avec vous.
Amitiés syndicales
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Accueil : 01 53 58 00 30

Communiqué du 5 octobre 2023

Le SNETAA a été reçu par Carole Grandjean, ministre chargée de l’enseignement et de la formation professionnels.

La ministre a lancé une série de consultations pour faire un point de rentrée.
Le SNETAA s’est rendu à cette audience pour porter la voix des PLP, CPE, titulaires et contractuels.
Le SNETAA a mis en avant le sentiment des professeurs de lycée professionnel : une forme de morosité qui s’installe.

Toutes et tous en grève le 7 mars et prêt·es pour la suite !

Depuis le 19 janvier, les travailleur·euses des secteurs publics comme privés, la jeunesse, les
étudiant·es, les lycéen·nes, les chômeur·ses, soutenu·es par une énorme majorité de la
population, ont fait la démonstration d’un rejet massif du projet de réforme des retraites.
Les personnels de l’éducation ne s’y sont pas trompés. En effet, les personnels des écoles,
établissements et services ont été fortement mobilisés ces dernières semaines, montrant la force
collective qui structure nos professions sur tout le territoire. Nos métiers, exercés majoritairement
par des femmes et dans des conditions qui ne cessent de se dégrader, rendent cette réforme
d’autant plus inacceptable.
C’est pourquoi nous serons en grève le 7 mars et encore dans l’action le 8 mars, journée
internationale de luttes pour les droits des femmes. Très peu d’entre nous pourront partir en
retraite avec une pension complète à moins de travailler jusqu’à un âge impensable. Enseigner
jusqu’à 67 ans n’est souhaitable ni pour les personnels, ni pour les élèves ! Celles et ceux qui le
pensent ne connaissent pas les réalités de nos professions. Travailler toujours plus longtemps,
dans des conditions toujours plus mauvaises et avec un salaire toujours plus faible... Ce n’est pas
acceptable !
Dans le même temps, le gouvernement multiplie les provocations à l’égard des personnels de
l’éducation : revalorisations insuffisantes dans le cadre du “socle”, missions supplémentaires
inacceptables dans le cadre du “pacte”, suppressions de postes qui auront dès la rentrée 2023
des conséquences scandaleuses.

Le gouvernement Macron-Borne persiste dans le maintien de sa réforme. L’heure est à
l’organisation du blocage du pays, partout et à tous les niveaux. Les organisations CGT
éduc’action, SGEN-CFDT, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SUD éducation, UNSA-Éducation
appellent :
• à faire grève massivement le 7 mars
• à se mobiliser massivement notamment par la grève le 8 mars journée internationale de
lutte pour les droits des femmes
• à décider en Assemblée générale des suites à donner à la mobilisation, y compris la
reconduction de la grève
• à participer aux mobilisations prévues le 9 mars par les organisations de jeunesse
Nos organisations de l’éducation se réuniront pour relayer et décliner dans nos lieux de
travail les positions adoptées par l’intersyndicale interprofessionnelle à la suite du 7 mars.
Elles soutiennent d’ores et déjà les écoles et établissements qui décideraient de
poursuivre la grève après le 7 mars.

APPEL À LA GRÈVE LE 31 JANVIER 2023

POURQUOI NOUS DEVONS TOUS FAIRE GRÈVE LE 31 JANVIER 2023 !
La grève du 19 janvier a été massive. Bien plus importante que tous les pronostics annoncés !
Selon le ministère de l’Intérieur, 1,2 million de manifestants dans les rues dans toute la France ; nous étions donc 2 millions de
manifestants pour exiger le retrait de la réforme des retraites et l’allongement de l’âge de départ à 64 ans. Pour le SNETAA-FO,
c’est NON !
Tout le monde a compris : c’est 2 ans de plus, des pensions amoindries avec un système de décote qui oblige chacun à tra-
vailler jusqu’à 67 ans. C’est 43 années de cotisations. Bref, c’est demander toujours plus aux salariés et fonctionnaires de ce
pays en les paupérisant.
Les contre-vérités ne cessent d’être avancées : le nombre d’actifs par rapport au nombre de retraités. Sauf qu’on omet sciem-
ment de dire qu’un actif de 1975 correspond à 3 actifs en 2023 ; la productivité par salarié a été multipliée par 3. Productivité
d’ailleurs qui fait perdre le sens des métiers et épuise tous les travailleurs qui, à la veille du départ à la retraite, sont éreintés
et n’imaginent pas faire ni une ni deux années de plus !
Autant de grévistes, autant de manifestants doivent tous nous encourager à poursuivre le combat : oui, nous pouvons faire
reculer le gouvernement ! Oui, nous pouvons gagner ce combat !
Et gagner ce combat, c’est gagner la mère des batailles !
Remporter pour toutes et tous le retrait de cette réforme, c’est donner un réel espoir de faire reculer le gouvernement sur toutes
les autres contre-réformes. Combattre la réforme de Carole Grandjean sur l’enseignement professionnel, c’est d’abord réussir
à faire reculer le gouvernement sur les retraites. La ministre Grandjean veut vider l’enseignement professionnel de nos élèves.
L’axiome est simple : pas d’élèves = pas de PLP ! Son but : sortir l’enseignement professionnel de l’École de la République,
abandonner l’enseignement professionnel à des officines privées encouragées de toutes pièces par l’équipe Pénicaud (RNCP
retiré de l’Éducation nationale ; allongement jusqu’à l’âge de 30 ans de l’apprentissage ; subventions de l’apprentissage amenant
à près de 15 milliards de déficit quand le gouvernement cherche soi-disant 10 milliards pour les retraites... ; profs virés des
CPC, développement des EPIDE et des E2C, etc.), mort des PLP, fonctionnaires à 18 heures par semaine, pour les transformer
en formateurs à 1607 heures par an sans aucun suivi de PFMP. Bref, c’est une attaque de notre statut.
Notre confédération Force Ouvrière a décidé d’activer sa caisse de solidarité en participant à hauteur de 30€ par jour de grève
pour les adhérents. Il n’y a donc aucune raison de tergiverser : la mobilisation si massive du 19 janvier 2023 encourage toutes
et tous à poursuivre le combat jusqu’au retrait de la réforme.
Le SNETAA-FO appelle tous les personnels de l’enseignement professionnel, tous les PLP à être en grève et présents dans
les manifestations le 31 janvier 2023.
C’est ensemble que nous gagnerons !

Demande d'allègement de service 2023

La circulaire concernant les demandes d'allègement de service pour la rentrée scolaire 2023 est parue.

La demande est à adresser sous la forme d'un dossier administratif au rectorat pour le 27 janvier 2023 au plus tard.

Pour en savoir plus contactez le Snetaa.

Secrétariat académique - Tél : 0384784099 - 0608238822 - Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

 

Lettre ouverte du SNETAA-FO

Lettre ouverte du SNETAA-FO aux PLP et organisations de jeunesse : pour défendre les lycées pro dans l’Ecole de la République

La mobilisation des lycées professionnels du mardi 18 octobre a été sans précédent : 62 % des PLP (professeurs de lycée professionnel) étaient en grève pour dire « non à la casse des lycées pro et au passage du corps de professeur d’État des PLP dans celui des formateurs » !

Dans une habitude qui frise presque le ridicule, le ministère affiche un taux de gréviste de 24 % à 8h00 quand un grand nombre de professeurs commencent habituellement leurs cours à 9, 10, 11h00 voire dans l’après-midi. Sauf que le blocage des lycées professionnels a été massif dans toute la France avec des rassemblements partout, nombreux, pacifiques, de professeurs qui sont des modèles pour la jeunesse.

Dès aujourd’hui, nous mobilisons tout le syndicat à tous les niveaux pour organiser une manifestation nationale le samedi 19 novembre 2022.

Lire et télécharger la lettre ouverte

L'édito de Pascal Vivier SG du SNETAA

MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE,

De mémoire de SNETAA, premier syndicat de l’enseignement professionnel, nous n’avons jamais connu un appel si unanime à la grève. Tous les PLP diront en ce 18 octobre 2022 combien ils refusent de participer à la liquidation et de l’enseignement professionnel initial, public et laïque et à la dégradation de leur métier d’enseignant spécialiste, fonctionnaire d’État, professeur de lycée professionnel (PLP).
Tous les personnels de l’Éducation nationale sont appelés à défendre notre École.
Les jeunes se joignent maintenant aux PLP car ils ont compris qu’il s’agissait de leur avenir, de leur insertion en tant qu’Homme, Citoyen et Travailleur dans une société bouleversée. Pourtant les PLP l’abordent avec allant pour faire le pays de demain car l’École est la colonne vertébrale de notre pays ; les lycées professionnels sont indissociables de l’École de la République.
Dans la campagne de l'élection présidentielle, vous vous êtes engagé pour l’enseignement professionnel. Alors comment sa déclinaison peut-elle être celle-ci ?
Avec les jeunes, les personnels, les entreprises qui peinent à recruter, le pays tout entier, allons-nous devoir perdre cinq ans ? Perdre cinq ans parce qu’une ministre déléguée, de provocation en provocation, en totale méconnaissance de l’enseignement professionnel, sans connaître ni aimer les jeunes que la Nation nous confie, sans mettre en valeur nos pourtant si grandes réussites, a décidé de casser la baraque.
La ministre est incapable de fédérer autour d’un projet au service des jeunes, avec les parents, les professeurs de lycée professionnel (PLP), les entreprises et tout le pays quand tous, nous sommes prêts aux innovations, à une dynamique de réussite, à une révolution pour la réindustrialisation du pays. Nous sommes face à un gâchis innommable, historique.
Le SNETAA sait qu’aucune réforme ne se construit contre les jeunes, contre les personnels, contre l’École. Cette École qui rassemble, qui unit, qui instruit, enseigne, éduque autour de valeurs communes et assure la force d’une Nation.
La seule question qui vaille :
Monsieur le Président de la République, allez-vous tirer les conséquences de ce carnage annoncé et vous saisir de la chance du moment qui ne se présentera plus ?
Monsieur le Président de la République, tous les professeurs de lycée professionnel diront le 18 octobre 2022, dans une mobilisation générale,
NON à la casse de l'enseignement professionnel et de leur métier.
Pascal VIVIER
Secrétaire général

Appel à la grève du 18 octobre pour les lycées professionnels

[...] Aucun appel à la grève n’a eu l’ampleur de celui du 18 octobre pour les lycées professionnels..."

"Pour l’heure, un seul élément de cette réforme systémique est connu, l’augmentation du temps passé en entreprise. Et encore, est-ce bien de 50 % ? dès la seconde ou la 1ère année de CAP ? Mais rien sur les entreprises. Ont-elles les moyens, et l’envie, d’accueillir tous ces stagiaires supplémentaires ? Rien sur sur les enseignements. Lesquels seront impactés ? Rien sur les enseignants. Certains devront-ils se reconvertir ? Qui pourrait rester serein devant tant d’interrogations ?  Cette réforme est fondée sur une idée, le temps passé en entreprise est gage de meilleure insertion professionnelle. Effectivement, les apprentis trouvent plus facilement un emploi, une fois leur diplôme obtenu, que les lycéens, mais ils ont été sélectionnés sur le marché du travail avant leur entrée en apprentissage. D’autre part, les statistiques leur sont favorables à 6 mois ou même à 7 ans, mais sur le long terme, il semble bien que les anciens lycéens soient mieux armés pour s’adapter aux évolutions technologiques. Enfin, l’ensemble des personnels de l’Education nationale, au-delà des PLP, entend un discours sous-jacent, l’Entreprise serait davantage formatrice que l’Ecole. En admettant que ce soit avéré pour les gestes professionnels, ce qui est loin d’être le cas, est-ce à l’entreprise de veiller à l’acquisition du socle commun, d’une culture citoyenne émancipatrice ? Bien sûr, les lycées et leurs enseignements généraux comme professionnels ne vont pas disparaître tandis que les CFA continueront de préparer les apprentis à passer CAP et bac pro avec leurs épreuves de français, de maths, d’histoire-géo… Mais le germe de la suspicion est là, le président de la République défend-il une école creuset de la République ?"
Source: extrait de l'éditorial de "Tout éduc" du 5 octobre https://www.snetaa.org/editorial-touteduc/

Communiqué intersyndical du 6 septembre 2022

Sous l’apprentissage, la désorganisation de la voie professionnelle sous statut scolaire !
Le président Macron dans son discours de rentrée aux recteurs a réitéré sa volonté d’engager une
nouvelle réforme de la voie professionnelle sous statut scolaire en souhaitant une convergence de
celle-ci vers le modèle de l’apprentissage.
Suite à ces annonces, une intersyndicale réunissant la CGT Educ’action, le CNT-FTE, le SE-UNSA, le
SNALC, le SNUEP-FSU, le SNETAA-FO et SUD Éducation, c’est-à-dire l’ensemble des organisations
syndicales de la voie professionnelle, s’est tenue le mardi 30 août.
Le constat qu’elles font est unanime : l’inquiétude est réelle en cette rentrée, et ces annonces
présidentielles laissent planer une menace forte pour l’avenir des lycées professionnels, des PLP et
des élèves de la voie professionnelle au sein du Service public d’Éducation.
En effet, le président veut « un partenariat beaucoup plus étroit avec les entreprises » laissant
subsister le mensonge que les PLP en seraient éloignés alors même que, pour beaucoup, ils ont
exercé dans le privé et qu'ils entretiennent des liens rapprochés avec les entreprises et leurs salariés
qui accueillent nos élèves en stage.
La feuille de route énoncée reste floue pour le moment : durée des PFMP augmentée de 50% aussi
bien en CAP qu’en Bac pro dès la rentrée 2023, fermeture des formations prétendues non insérantes,
cartes des formations mises en adéquation avec les métiers qui peinent à recruter sur les secteurs en
tension. La formation initiale de nos lycéens et lycéennes professionnels serait donc instrumentalisée
pour développer toujours plus l’apprentissage avec l’objectif d’atteindre 1 million d’apprentis. Autant
de mesures qui sont une menace directe pour les postes de PLP, mais aussi et surtout pour la
vocation émancipatrice de l’enseignement professionnel sous statut scolaire des élèves. Nos élèves
n’ont pas besoin de plus d’entreprise mais de plus d’école, plus de culture et d’enseignement
général, bref de plus de bases scolaires.
Le leitmotiv « on apprendrait mieux sur le tas » tout comme l'amalgame des lycées professionnels à
un « gâchis » généralisé sont inacceptables. C’est pourquoi les organisations syndicales CGT
Educ’action, CNT-FTE, SE-UNSA, SNALC, SNUEP-FSU, SNETAA-FO et SUD Éducation appellent
l’ensemble des personnels des lycées professionnels et Érea à se réunir dès ce début septembre en
Heures d’informations syndicales dans un cadre unitaire le plus large possible, afin d’informer,
d’échanger ensemble sur les projets qui se profilent afin de débattre d’une réponse collective à
construire et préparer les mobilisations nécessaires.
Au regard des enjeux importants d'un tel projet pour les PLP et les élèves, l'intersyndicale demande
des clarifications rapides. D’ores et déjà l’intersyndicale a convenu d’une nouvelle date de réunion
pour amplifier la réponse collective qui fera échec à ce projet de désorganisation de la voie
professionnelle scolaire.
Montreuil le 6 septembre 2022

 

Recours inter : le Snetaa sur le pont !

Si les Commissions paritaires  du mouvement Inter ont malheureusement disparu avec  la loi de transformation de la Fonction publique,  l’administration a néanmoins l’obligation de recevoir les syndicats dûment mandatés par les collègues qui font un recours suite à la non satisfaction de leur mutation.  Les élus du SNETAA-FO ont ainsi rencontré le 26 avril, le Chef de bureau et son adjoint de la direction du personnel du 2d degré de la DGRH  pour défendre les recours des collègues.

Lors de cette audience, qui a duré plus de 4 heures, 140 dossiers ont été soutenus par le SNETAA. À chaque fois, nous avons porté la parole de nos adhérents et défendu leur recours. À l’arrivée, près de 20 pour cent des dossiers ont obtenu satisfaction, de nombreux autres restent en attente de l’avis des académies que le ministère veux encore consulter et enfin des dossiers impliquant des académies déficitaires sont en attente d’un arbitrage du Chef de service de la DGRH.

Un autre rendez-vous sera fixé d’ici la fin du mois de mai, pour tous les dossiers en attente et ceux qui arrivent encore, puisque les recours peuvent être déposés jusqu’au 9 mai.

Le SNETAA est fier du travail réalisé et prouve que la suppression des réunions paritaires n’arrête pas pour autant le suivi syndical et la défense des adhérents, au contraire ! Avec le SNETAA-FO, ne lâchons rien !

Vous voulez être informés, vous voulez être défendus ? Contactez le SNETAA-FO : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. !

REUNIONS D’INFORMATION MUTATIONS 2022

 

MUTATIONS 2022

 

MOUVEMENT INTRA-ACADEMIQUE

 

 REUNIONS D’INFORMATION

 

ANIMEES PAR LES COMMISSAIRES PARITAIRES DU SNETAA-FO

 

POUR LES ADHERENTS

 

CANDIDATS A UNE MUTATION OU

 

A UNE PREMIERE AFFECTATION

 

Mardi 22 et Vendredi 25 mars

 

14H - 17 H

En visioconférence

(un code skype vous sera envoyé après inscription)

ou par téléphone

 

Munissez vous des codes de connexion à iprof afin de pouvoir réaliser des vœux en direct.

Il est souhaitable que les participants se manifestent pour dire lequel de ces 2 jours ils participeront afin d’établir des RDV pour de la gestion plus individualisée

 

  Pour toute inscription ou question

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03 84 78 40 99 ou 06 08 23 88 22

 

 

Mutations inter 2022 : résultats et recours

C’est à partir du mercredi 9 mars, que le ministère envoie aux candidats à mutation interacadémique le résultat de leur demande.

Tous ceux qui ont obtenu une mutation à l’inter (hors postes spécifiques ou à profil) doivent donc maintenant participer au mouvement intra dans l’académie obtenue.

En parallèle de cette démarche, les collègues non satisfaits de leur mutation (celle-ci ayant été refusée ou non conforme à leur vœu 1) doivent déposer, avant le 9 mai, une demande de recours sur l’application Colibris du ministère, en mandatant leur syndicat, le SNETAA-FO.

Le SNETAA-FO vous conseillera tout au long de la procédure et défendra votre dossier face à l’administration lors d’échanges en bilatérales. Les élus nationaux du SNETAA-FO répondront à vos questions et vous guideront tout le mois de mars (y compris les week-end des 12 et 13 mars et 19 et 20 mars !), ainsi qu’au mois d’avril.

Alors, n’hésitez pas ! Contactez-nous au 01 53 58 00 31 OU AU 01 53 58 00 34 et 01 77 35 95 06 ou ENCORE par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. OU Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. !

Épreuve de contrôle à compter de la session 2022

La note de service du 31-12-2021 précise les modalités d'application de ces nouveaux textes relatifs à l'épreuve de contrôle au baccalauréat professionnel.

Les conditions d'accès à l'épreuve de contrôle, les modalités d'évaluation et d'admission à l'issue de l'épreuve de contrôle sont remplacées, à compter de la session 2022, par les dispositions prévues dans le décret et l'arrêté du 25 novembre 2021. De nouvelles grilles d'évaluation sont également prévues en annexe.

1. Les conditions d'accès à l'épreuve de contrôle

2. Les modalités d'évaluation des candidats

3. Notation et nouvelles modalités d'admission

Bulletin officiel n° 4 du 27 janvier 2022

 

Mutations inter 2022

Vous devez ou vous souhaitez muter en 2022 ? Le SNETAA est là !

Fort de son expérience et de son expertise, le SNETAA-FO peut vous apporter l'aide et les conseils dont vous avez besoin pour élaborer la stratégie la plus adaptée à votre situation.

CONTACTEZ-NOUS :
- par téléphone, de 9h à 12h puis de 14h à 18h à l'un des numéros suivants :
01 53 58 00 31
01 53 58 00 34
01 77 35 95 06 (disponible aussi de 20h à 22h)

- par mail sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Des annonces pour l'enseignement professionnel

LE SNETAA-FO SERA EXIGEANT SUR LEURS DECLINAISONS

Le ministre a ouvert la « Première université École-Entreprise » au Futuroscope de Poitiers les 7-8 octobre 2021.

Il souhaitait mettre un coup de projecteur sur l’enseignement professionnel, son excellence et son attractivité.
Le SNETAA était présent, invité, pour porter la voix des PLP et porter ses mandats sur la promotion et le développement de l’enseignement professionnel.

Si on a pu noter encore une fois une méconnaissance de ce qu’est l’enseignement professionnel, la réalité de nos jeunes, leurs difficultés, d’où ils viennent et quelle chance l’enseignement professionnel peut être pour eux et plus généralement pour notre pays, toutes les interventions ont donné le sentiment d’une réelle prise de conscience de tous les acteurs (Éducation nationale et monde professionnel) pour donner à cette voie les projecteurs qu’elle mérite.

L’appel au développement de l’apprentissage, poncif politique de tous les gouvernements successifs de notre pays, n’a pas manqué d’être porté quand toutes les études scientifiques sérieuses (CEREQ) montrent combien il n’est ni la solution miracle pour les jeunes qui sont en infra-baccalauréat ni même l’attente des entreprises (hormis quelques secteurs traditionnels).

Le SNETAA a porté les valeurs de ses adhérents et les talents des fonctionnaires d’État, les professeurs de lycée professionnel, sans oublier de rappeler l’exigence d’une gouvernance nationale des cartes des formations, des diplômes nationaux et l’attente des PLP à être reconnus dans leurs missions, leurs conditions de travail et d’abord par le bas de leur fiche de paie !

Les recours aux mutations intra-académiques...

Depuis l’entrée en vigueur de la loi de la transformation publique, les commissions paritaires ne sont plus réunies pour étudier les résultats avant leur publication. Cette loi a introduit la possibilité aux personnels qui n’ont pas obtenu de mutation ou qui ont été mutés sur un poste non demandé (stagiaires affectés en extension), d’engager un recours administratif en étant accompagné par un syndicat représentatif.
Le SNETAA-FO, premier syndicat chez les PLP est bien entendu considéré comme représentatif par le ministère. Ces recours consistent en plusieurs réunions bilatérales entre le syndicat et l’administration. Seul les recours pour lesquels un syndicat a été dûment mandaté y sont évoqués.
L’an passé, le SNETAA-FO a accompagné plusieurs collègues dans leur demande d'une révision temporaire de leur affectation . De nombreux courriels ou appels téléphoniques ont accompagnés ces rencontres.
N’hésitez donc pas à engager un recours...avec le SNETAA-FO...

PFMP : AMÉNAGEMENT POUR LA SESSION D’EXAMEN 2021

Les textes reconduisant, pour la session 2021, les dérogations aux durées des périodes de formation en milieu professionnel pour se présenter aux différents diplômes de l’enseignement professionnel (CAP, bac pro, brevet professionnel, brevet des métiers d’arts, MC, métiers d’arts) sont parus au JO du 16 février 2021 (BO n°7 du 18 février 2021) :
    décret du 15 février 2021 portant adaptation des durées des PFMP exigées pour l’obtention des diplômes professionnels pour la session 2021 ;
    arrêté du 15 février 2021 adaptant l’organisation des PFMP pour l’obtention des diplômes professionnels au titre de la session 2021 ;
    note de service du 15 février 2021 modifi ant les modalités d’organisation conduisant à la délivrance des diplômes professionnels à titre exceptionnel pour la session 2021 des examens.

LES DURÉES DE PFMP SONT RÉDUITES COMME SUIT :
    baccalauréat professionnel : 10 semaines pour les cursus en 3 ans, 8 semaines pour le cursus en 2 ans, 5 semaines pour le cursus en 1 an ;
    CAP et BEP : 5 semaines pour les cursus en 2 ou 3 ans, 3 semaines pour le cursus en un an ;
    mention complémentaire, brevet des métiers d’arts et diplômes de techniciens des métiers du spectacle : la moitié de la durée obligatoire fixée par l’arrêté de spécialité (soit entre 6 et 9 semaines selon la spécialité).
Pour les candidats de la formation continue, la durée prévue par l’arrêté de spécialité est réduite de 4 semaines, le total ne pouvant être inférieur à 4 semaines.

Ce nombre de semaines est un minima pour les jeunes qui n’ont pas pu ou ne pourraient pas suivre l’ensemble des PFMP prévues aux référentiels. Cela signifie bien que toutes les sections qui peuvent assurer l’ensemble des PFMP le feront ; cela permet aussi d’éviter de mettre la pression inutilement aux professeurs ou aux élèves pour qui la situation sanitaire exceptionnelle empêche de réaliser pleinement le nombre de PFMP.
Ces textes permettent également d’adapter le calendrier des situations d’évaluation des CCF, après concertation entre l’équipe pédagogique et le chef d’établissement.

Pour le SNETAA-FO, ces clarifications permettent de mettre fin à toutes les situations invraisemblables sur le départ en PFMP des élèves, situations souvent même en contradiction avec les dispositions réglementaires qui doivent pourtant être rigoureusement respectées.
Le SNETAA-FO demande que l’on fasse pleinement confiance aux équipes de terrain qui sauront faire au plus près des problématiques locales.
Et si des problèmes persistent encore, n’hésitez pas à prendre contact avec vos représentants locaux du SNETAA-FO qui interviendront !

MOUVEMENT INTRA-ACADEMIQUE


MOUVEMENT INTRA-ACADEMIQUE 2021
REUNIONS D’INFORMATION ANIMEES PAR LES COMMISSAIRES PARITAIRES DU SNETAA-FO

POUR LES ADHERENTS CANDIDATS A UNE MUTATION OU A UNE PREMIERE AFFECTATION

Mardi 23 et Vendredi 26 mars
14 H - 17 H
En visioconférence (un code skype vous sera envoyé après inscription)
Munissez vous des codes de connexion à iprof afin de pouvoir réaliser des vœux en direct.
Il est souhaitable que les participants se manifestent pour dire lequel de ces 2 jours ils participeront afin d’établir des RDV pour de la gestion plus individualisée

Pour toute inscription ou question
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
03 84 78 40 99 ou 06 08 23 88 22
Télécharger l'affichette

 

Recours sur les résultats du mouvement inter académique

Pour rappel, les voies et délais de recours de droit commun régis par les articles R 421-1 et R 421-2 du code de justice administrative sont applicables dans le cadre des mouvements.

Un personnel peut ainsi former un recours administratif ou juridictionnel dans le délai de 2 mois s’il n’a pas été muté ou contre sa décision d’affectation dans une académie ou un département ou sur un poste. Cette décision peut en effet être contestée par le personnel dans tous les cas, qu’il ait été affecté sur un poste qu’il a demandé ou non (par exemple en extension) et dans la 1ère hypothèse, quel que soit le rang du vœu qu’il a obtenu (par exemple, 2ème ou 15ème vœu).
Le SNETAA-FO peut vous conseiller pour votre courrier.

Champ du recours et de l’assistance aux personnels par les organisations syndicales

Les personnels peuvent choisir d’être assistés par une organisation syndicale représentative pour former un recours administratif contre les décisions individuelles défavorables prises au titre de l’article 60 de la loi du 11 janvier 1984, c’est-à-dire lorsqu’ils n’obtiennent pas de mutation ou lorsque devant recevoir une affectation, ils sont mutés dans une académie qu’ils n’avaient pas demandée.
Formalisation des recours formés par les personnels

Les personnels du 2nd degré adressent à la DGRH (bureau B2-2) leur recours gracieux formés dans le cadre du mouvement inter académique. Une adresse mail dédiée aux recours inter second degré sera créée. Demandez-la au SNETAA-FO.

Mandatez le SNETAA-FO et il vous conseillera tout au long de la procédure et défendra votre dossier face à l’administration lors d’échanges en bilatérales.

Dans tous les cas, appelez d’abord la permanence mutations du SNETAA-FO les 3, 4 et 5 mars et 8, 9 et 10 mars aux numéros suivants :

01 53 58 00 30 ou 01 53 58 00 34 ou 01 77 35 95 06 ;

Vous pouvez également joindre les commissaires paritaires sur les boîtes mails :

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

En savoir plus...

POSTES EN LP, SEP, SEGPA, EREA et vote de la DHG

L’heure est venue de se réunir dans les établissements pour réfléchir sur la dotation horaire globale (DHG), afin, dans un premier temps, de voter en conseil d’administration (CA) :

– les ouvertures et fermetures de postes demandées ;

– la répartition des heures postes (HP) restantes en blocs de moyens provisoires (BMP).

En aucun cas, ce CA de début d’année ne valide la répartition fine des heures sur les disciplines et les classes de façon définitive. En effet, cela peut évoluer jusqu’en juin en fonction des demandes de temps partiels, des mutations inter et intra, des départs en retraite.

Néanmoins, si la DHG paraît insuffisante au regard des grilles horaires et ne permet plus un enseignement de qualité, son volume peut faire l’objet d’une motion des élus au CA dénonçant ces éléments, arguments à l’appui.
Mais pourquoi certaines DHG sont-elles en baisse ?

Il peut y avoir plusieurs raisons à cela :

– s’il y a fermeture d’une structure sans compensation (en 1ère, 2è ou 3è année de cycle) ;

– s’il y a une baisse importante du nombre d’élèves (rappel : en bac pro, la dotation est à l’élève près) ;

– suite à la transformation d’une partie non négligeable des HP en heures supplémentaires années (HSA), en raison d’une décision ministérielle exposée en CTM (rappel : on peut imposer désormais 2 HSA à chaque enseignant à temps plein) ;

– certaines académies ont décidé de supprimer des heures d’enseignement professionnel en 4è et 3è SEGPA.

Pour le SNETAA-FO, ces éléments doivent fonder nos combats à mener pour maintenir les moyens d’enseignement et une offre de formation en enseignement professionnel répondant aux choix d’orientation des élèves et des familles.

Le SNETAA-FO, grâce à son réseau de militants, est présent auprès de vous, n’hésitez pas à faire appel à nous !

Vous participez au mouvement général interacadémique...

À compter de cette semaine, les barèmes calculés par l’administration sont accessibles sur votre Iprof via SIAM

Il vous appartient néanmoins de fournir au rectorat via l’adresse mail dédiée aux échanges, et ce du 15 au 29 janvier, toute pièce utile pour valider les points manquants. Il vaut mieux les leur communiquer deux fois au besoin. N’attendez pas la dernière minute : une fois dépassée la date fixée au niveau académique, plus aucun élément de barème ne peut être révisé !

Par ailleurs, pour les cas particuliers de bonifications pour handicap, les demandes émises à ce titre dans les temps ont été examinées par le rectorat et…

– si la RQTH du candidat a été fournie : soit le barème donne 100 points sur tous les vœux soit 1000 points sur le vœu 1 au moins ;

– si la priorité handicap concerne le conjoint ou un enfant : le barème intègrera 1000 points ou rien ;

– si vous êtes en attente de la RQTH : aucun point n’est donné. Mais si la RQTH vous parvient tardivement, et en tout cas jusqu’au 03 mars, celle-ci doit être envoyée au rectorat avec demande d’octroi des points. Dans ce seul cas, le barème pourra évoluer.

Si votre barème n’est pas conforme à celui que vous aviez calculé selon votre situation, n’hésitez pas à joindre le SNETAA-FO académique ou national !

Télécharger la fiche navette

Nouvelles dispositions PFMP pour les examens

Nouvelles dispositions PFMP pour les examens à cette fin d’année scolaire : 5 semaines en CAP, 10 semaines en Bac Pro

Lors du Comité de Suivi National de la TVP qui s’est tenu ce jour, mercredi 02 décembrele ministère a donné suite à notre demande d’anticipation quant aux dispositions des examens (CAP et Bac Pro) à cause de la situation épidémique. Il s’agit de nouvelles dispositions quant aux nombres de semaines de PFMP pour valider les examens CAP et Bac Pro. Pour l’année scolaire dernière et les examens qui ont eu lieu en juin 2020, un décret modificatif avait réduit le nombre de semaines de PFMP pour valider l’examen. 


Au vu de la situation liée à la pandémie et à toutes les difficultés sur les PFMP, le Ministère a décidé de porter le minima de semaines de PFMP à 10 semaines en Bac Pro et à 5 semaines en CAP.

Lire la suite sur le site du SNETAA national

Indemnité de professeur principal en SEGPA

Le SNETAA-FO s’est battu pour que la mission de professeur principal (PP) acceptée par les PLP affectés dans les classes de SEGPA soit légitimement rémunérée, à hauteur de la part variable de l’ISOE.

Après des mois d’effort pour nous, le ministère, au travers d’une circulaire en date du 18 novembre 2020 décide que cette indemnité sera versée aux PLP des seules classes de 3e SEGPA, pour l’année scolaire passée (2019-2020) et l’année scolaire présente. L’indemnité de PP n’est donc reconnue à aucun autre PLP affecté en SEGPA ni pour cette année scolaire ni pour la précédente.

C’est une victoire, certes, mais en demi-teinte. En effet, rien ne justifie l’exclusion des autres collègues, notamment les PLP des classes de 4e de SEGPA qui, lorsqu’ils sont PP, fournissent un travail équivalent à tous les autres PP. Or, toute charge supplémentaire de travail doit donner lieu à rémunération.

C’est pourquoi le SNETAA-FO invite les PLP professeurs principaux des classes de 4e de SEGPA à abandonner dès aujourd’hui leur mission de PP. Pour cela, il leur suffira de remettre à leur directeur de SEGPA une lettre dont le modèle est en lien à la fin de cet article.

Nous prenons acte de la décision du ministère ; nous n’abandonnons toutefois pas le combat. En conséquence, le SNETAA-FO va saisir le conseil d’État pour demander que la part variable de l’ISOE soit versée à tous les PLP professeurs principaux en SEGPA. Ce ne sera que justice !

à télécharger : modèle de lettre de démission de la charge de professeur principal en SEGPA

La nouvelle FAQ clarifie l’organisation des PFMP : c’est le CA qui décide

Le SNETAA-FO a obtenu une audience mercredi 04 novembre avec Édouard Geffray, Directeur général de l’enseignement scolaire, et son adjointe, la cheffe de l’Instruction publique, Rachel-Marie Pradeilles-Duval. 

Le sujet de l’organisation des PFMP a notamment été abordé.

Une nouvelle foire aux questions (FAQ) a été publié en fin d’après-midi sur le site du MEN (https://www.education.gouv.fr/coronavirus-covid-19-les-reponses-vos-questions-306136)

Elle invite clairement les chefs d’établissement à réunir leur CA pour décider d’autres dates de PFMP afin d’éviter un double travail des profs et toutes les usines à gaz en cours. Les IEN qui invitent les élèves à partir en PFMP « au fil de l’eau » en s’appuyant sur l’ancienne FAQ sont hors-sol, allument des feux inutiles et créent des situations délétères. Le SNETAA se félicite de sa suppression. Cette ancienne FAQ, comme la nouvelle, n’a pas la valeur d’une circulaire. 

Nous poursuivons le combat pour répondre et assister les collègues ; ils n’ont pas à subir de nouvelles pressions, exécrables.

Au lycée à vélo ou en covoiturage ? Pensez au forfait mobilité...

Le décret n° 2020-543 du 9 mai 2020 a instauré dans le cadre du « forfait mobilité
durable » une indemnité forfaitaire de 200 euros pour tout fonctionnaire qui se rend
sur son lieu de travail en covoiturage ou à vélo, au moins 100 jours par an (sur une
année civile). La demande doit être adressée à son rectorat, déclaration sur l'honneur
à l'appui, avant le 31 décembre de l'année en cours pour un paiement l'année
qui suit. Attention : pour 2020, année de transition, la prime sera de 100 euros pour
50 jours minimum de déplacement.
Une question, une précision ? Le SNETAA-FO vous répond

Décret no 2020-543 du 9 mai 2020 relatif au versement du « forfait mobilités durables » dans la fonction publique de l’Etat

PFMP, une FAQ à côté de ses baskets...

Certains syndicats s’émeuvent d’une foire aux questions (FAQ) sur l’aménagement des PFMP quand le SNETAA a anticipé ces questions dès la fin du confinement le 11 mai dernier, puis en audience avec le Directeur général (DGESCO) à deux reprises en juin et juillet derniers.
D’abord, nous regrettons que la circulaire de rentrée soit sortie mi-juillet. Ainsi les dispositions « souhaitées par la DGESCO » sont totalement inopérantes. Car les conseils d’administration ont voté les dates des PFMP pour l’année scolaire 2020-2021 en mai ou juin 2020. Elles sont donc « installées » dans l’année et aucun texte ne peut déroger ni aux statuts des PLP ni aux décrets liés aux PFMP. Voilà la réalité !
Ainsi, les possibilités d’aménagement proposées dans FAQ de la DGESCO ne peuvent tout simplement pas s’appliquer. C’est clairement « hors sol » et nous l’avions clairement dit dès mai et juin 2020. Hors sol pour la DGESCO et… hors sol pour les organisations syndicales qui s’en émeuvent fin septembre 2020 !
Ce qui importe au SNETAA, c’est – au-delà des positions de principes – de répondre aux vraies problématiques de terrain. Il n’y a aucune pression dans les bahuts pour que des élèves partent en PFMP « au fil de l’eau » (ou alors contactez-nous immédiatement et nous interviendrons).
Les problèmes qui émergent sont liés à la frilosité des entreprises voire leur impossibilité à prendre des élèves en PFMP. C’est particulièrement vrai dans les métiers de l’aide à la personne (en EPHAD, hôpitaux, crèches…) mais aussi dans les métiers de l’hôtellerie-restauration. Et plus globalement chez tous les petits artisans et commerçants.
Ça, c’est une vraie problématique !
Ça augure donc mal pour l’apprentissage vanté comme « solution à tout ». Les entreprises ne veulent pas de nos jeunes « gratuitement » en PFMP ; gageons qu’elles ne prendront pas ces jeunes, à ces niveaux (CAP/bac pro), en apprentissage…
Sur les PFMP, le statut s’applique. Les décisions des dates votées en CA s’appliquent. Et aucune FAQ ne peut aller à leur encontre. Alors, battons-nous pour résoudre les vrais problèmes des PLP !
Ont été décidés, l’année scolaire passée, des aménagements de durée de PFMP pour valider son examen CAP ou bac pro concernant les examens 2020 mais aussi 2021 et 2022. Nous avons publié ces minima du nombre de semaines de PFMP requises dans de multiples AP et nous les rappelons dans celui-ci.

C’est comme le diplôme intermédiaire (DI) : il est supprimé dès cette rentrée de septembre 2020 et remplacé par une attestation de réussite (sans examens, sans CCF) délivrée par le conseil de classe (les décrets sont à la signature et arriveront avant décembre 2020).
On peut regretter la suppression du DI. Mais on regrette aussi les fausses rumeurs véhiculées dans les établissements ; cela ajoute à la fatigue et au stress des collègues déjà confrontés à toutes les problématiques COVID.

Continuons notre syndicalisme concret et implanté ! Continuons de défendre les personnels sur le terrain...

Formuler un recours assisté par une organisation syndicale contre le résultat du mouvement intra-académique

Pour toutes les autres situations, les participants au mouvement peuvent formuler un recours dans le cadre du droit commun (dans les 2 mois). Toutefois, ceux-ci se feront sans assistance syndicale auprès des services rectoraux ; le SNETAA-FO ne manquera pas de vous aider aussi dans cette démarche.

Un problème survient cependant pour les collègues victimes d’une mesure de carte scolaire (MCS). En effet, ceux-ci n’ont pas l’obligation de formuler les vœux bonifiés en lien avec cette MCS ; mais s’ils ne les formulent pas, alors le programme automatique d’affectation les génère automatiquement après les vœux choisis par le candidat. Ainsi, ce ne sont pas des vœux formulés par le candidat ! Pour le SNETAA-FO, l’affectation dans le cadre de ces vœux non formulés devrait donc donner droit à recours assisté.

Lors du résultat de ces mouvements intra, les informations données aux collègues seront a minima :
– un résultat sur SIAM et éventuellement un SMS ;
– un message envoyé dans Iprof avec plus d’informations en cas de réponse défavorable sur le vœu 1. Dans ce cas, la réponse sera motivée ainsi : soit « poste non vacant », soit « barème insuffisant ».

Le ministère met un certain nombre d’outils informatiques à la disposition des rectorats permettant à ces derniers de communiquer les barres départementales, les barres par discipline et par type d’établissement. Les rectorats auront le choix des informations qu’ils donneront ; il y aura donc rupture d’égalité entre les territoires. Toutefois, comme lors du mouvement interacadémique, si le nombre de personnes est peu important, aucune information ne sera donnée, ceci afin de « préserver les données individuelles ». Encore de l’opacité que le SNETAA-FO continue de combattre !

Le résultat reçu par mail ou sur SIAM vaut décision officielle. Même si l’arrêté est pris après, le mail est créateur de droit et ouvre le délai de deux mois pour les recours.

Pour former un recours, il faut :
– rédiger un courrier ou un mail dans les délais imposés par le rectorat ;
– préciser l’organisation choisie pour suivre ce recours et éventuellement le nom du représentant syndical. En l’absence de ce dernier, une personne désignée par le syndicat pourra intervenir.

De son côté, le syndicat produit à l’administration une liste de personnels susceptibles de suivre les recours et envoie un tableau récapitulatif de toutes les demandes pour lesquelles il est mandaté. Des échanges sont organisés avec l’administration sur ces recours selon les modalités retenues par le rectorat.

Dans tous les cas, rapprochez-vous du SNETAA-FO dans votre académie qui vous conseillera et vous assistera dans cette démarche !
Secrétariat académique du SNETAA-FO Besançon
Tél : 03 84 78 40 99 ou 06 08 23 88 22
Site internet : www.snetaabesancon.fr

Rendez-vous de carrière : de nouvelles modalités parues pour une année inédite !

Face à la crise sanitaire certaines procédures Ressources Humaines doivent s’adapter, notamment pour les rendez-vous de carrière pour les 6ème, 8ème et 9ème échelon nécessitant des observations en classe ou des échanges avec les enseignants.

L’arrêté du 13 mai 2020 paru au JO du 19 mai précise les aménagements pour les collègues éligibles au rendez-vous de carrière ou en cours de stage avant titularisation pendant cette année scolaire.

    L’arrêté du 13 mai permet de prolonger la campagne 2019-2020 des rendez-vous de carrière jusqu’à la fin de l’année civile. Les notifications interviendront au plus tard le 15 janvier 2021. L’entretien pourra être tenu à distance.
    Pour la titularisation des stagiaires et pour cette seule année scolaire un arrêté allègera les conditions dans lesquelles une inspection est requise avant titularisation. Le rôle des jury académiques et le calendrier de titularisation restent inchangés. Les décisions seront prises en début d’été.

Le PPCR dénoncé par le SNETAA-FO a induit ces rendez-vous de carrière qui pour les 6ème et 8ème échelon et pour un petit nombre de PLP peut apporter une bonification de 1 an pour les plus chanceux.

Certains lors de l’instauration du PPCR laissaient croire à une carrière linéaire se terminant au pire à la hors classe. NON les promotions à la hors classe sont toujours soumises aux quotas académiques. Donc NON tous les PLP ne termineront pas obligatoirement à la hors classe.

Le SNETAA-FO présent dans toutes les CAP académiques pourra défendre vos dossiers, si besoin contactez vos commissaires paritaires académiques.

Pas de réunion en présentiel dans les lycées : la circulaire ministérielle dit NON !

Le SNETAA-FO rappelle que la réouverture des lycées aux élèves, donc aux PLP, a été, pour le moment, programmée au 02 juin.

Il est absolument intolérable que des proviseurs organisent des réunions de quelque nature que ce soit en exigeant la présence physique des professeurs dans les locaux, en contradiction totale avec la réglementation exceptionnellement en vigueur qui prévoit toujours l’interdiction d’accueillir du public dans les lycées (BO numéro 19 du 07 mai 2020, circulaire du 04/05/2020).
"Lycée général, technologique et professionnel
Fin mai, un examen de la situation sanitaire permettra de déterminer la possibilité d'étendre la réouverture progressive, le cas échéant, aux lycées."
En conséquence, le SNETAA-FO vous demande de ne surtout pas répondre à ces convocations irraisonnées et de ne pas participer à ces réunions illégales.

Mouvement intra académique: dernières informations

Calendrier modifié des opérations à venir (nouvelles dates de consultation des barèmes, de publication des résultats, ...)

Contrôle des barèmes par les services académiques: jusqu'au 7 mai 2020
Entretiens SPEA (si nécessaire et notamment si plusieurs candidats pour un seul poste) - entretiens audio : inspecteur, chef établissement et candidat jusqu'au 14 mai 2020 (retour des avis à DPE le 15 mai 2020 au plus tard)
Affichage des barèmes intra sur SIAM : Du 11 mai (à partir de 14H00) au 24 mai 2020
Durant cette période,vous pourrez consulter les barèmes validés par l'administration.
Vous pourrez demander des informations et/ou contester ces barèmes à l'aide d'une fiche navette (téléchargeable ci-dessous) à compléter et à envoyer dans le même délai à l'adresse mail ci-dessous correspondant à votre situation (avec copie à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.)
PLP toutes disciplines : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
CPE : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Enseignants d'EPS (agrégés & P.EPS) : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Télécharger la fiche navette

Les commissaires paritaires du SNETAA-FO restent à vos côtés pour vous aider dans vos démarches de mutation.
N'hésitez pas à nous contacter

Secrétariat académique du SNETAA-FO Besançon
Tél : 03 84 78 40 99 ou 06 08 23 88 22
Site internet : www.snetaabesancon.fr

Mouvement intra : le SNETAA-FO plus que jamais à vos côtés...

Vous arrivez dans l'académie de Besançon : bienvenue !

Dernière minute :

Envoi des confirmations de demande de mutation les 8 et 9 avril 2020 - 

Les confirmations de demande de mutation intra-académique ont été transmises les 8 et 9 avril 2020 par les services du rectorat:
- directement à l’adresse mail saisie et sauvegardée dans I-Prof
- en l’absence de réception constatée le 10 avril 2020, vous devez à formuler une réclamation par mail à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
en précisant bien PLP et votre discipline afin de faciliter la recherche.

Retour des confirmations avec pièces justificatives avant le 15 avril 2020 (au lieu du 10 avril 2020 comme indiqué sur les confirmations)
- envoyer impérativement les pièces à l’adresse mail  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Les commissaires paritaires du SNETAA-FO sont à vos côtés pour vous aider dans vos démarches de mutation.
N'hésitez pas à nous contacter

Secrétariat académique du SNETAA-FO Besançon
Tél : 03 84 78 40 99 ou 06 08 23 88 22
Site internet : www.snetaabesancon.fr

 

 

Le SNETAA défend l’enseignement professionnel initial et ses professeurs de lycée professionnel (PLP)

Le SNETAA a été reçu en audience par Édouard Geffray, Directeur de l’Enseignement Scolaire (DGESCO) et Rachel-Marie Pradeilles-Duval, Cheffe de l’Instruction Publique ce mardi 18 février 2020. Elle avait pour but d’échanger sur la transformation de la voie professionnelle, de l’aménager quand cela se révèle nécessaire et d’envisager la promotion de l’enseignement professionnel.

Cette audience s’articule avec le comité de suivi de la transformation de la voie professionnelle du 05 février dernier et préparatoire à sa prochaine tenue le 25 mars prochain.

Pour commencer l’audience, le SNETAA a rappeler ses demandes formulées en comité de suivi : donner pleinement sens à la transformation de la voie professionnelle, écouter les remontées de terrain, corriger conséquemment les couacs, et préparer intensivement la prochaine rentrée de septembre 2020 en donnant tous les moyens prévus par décret ( grilles horaires, DGH).

Le premier syndicat des professeurs de lycée professionnel tient à ce que les collègues soient favorablement accompagnés sur le terrain en particulier sur les nouvelles modalités pédagogiques (co-intervention et chef d’œuvre).

Absence d’un des professeurs en co-intervention : la DGESCO répond !

Depuis le mois d’octobre 2019, le SNETAA-FO, alerté par les PLP, a demandé au MEN un positionnement clair en cas d’absence d’un des deux professeurs en co-intervention.

Enfin, une réponse précise nous a été donnée par la DGESCO :
    en cas d’absence prévue d’un des deux collègues en co-intervention, avec l’accord de l’enseignant présent, celui-ci prendra la classe en enseignement disciplinaire ;
    en cas d’absence imprévue d’un des deux collègues en co-intervention, il n’y aura pas de cours de co-intervention car il n’y a pas les deux enseignants. Donc les élèves seront libérés de cours.
Une note de service à destination des personnels de direction détaillant ces consignes doit être établie par la DGESCO.
À force de lutter pour remettre au centre des débats la VP initiale, publique et laïque, nous obtenons des réponses aux problèmes que pose concrètement, dans les bahuts, la mise en place de la transformation de la voie professionnelle.
Le SNETAA-FO se bat au quotidien, auprès de vous, du ministère jusque dans les établissements, pour défendre les intérêts matériels et moraux des PLP et pour améliorer leurs conditions de travail.

Congé formation et temps partiel...

DEMANDE DE CONGE DE FORMATION PROFESSIONNELLE

Pour l'année scolaire 2020-2021

DATE LIMITE RETOUR RECTORAT: 18 DECEMBRE 2019

 

EXERCICE DES FONCTIONS A TEMPS PARTIEL

Pour l'année scolaire 2020-2021

DATE LIMITE RETOUR RECTORAT : 10 janvier 2020


Contactez le SNETAA-FO

Mutation 2020 : le SNETAA à vos côtés...

Ap n°579

MUTATIONS 2020 - MOUVEMENT INTER ACADEMIQUE
REUNION D’INFORMATION
POUR LES ADHERENTS CANDIDATS A UNE MUTATION OU A UNE PREMIERE AFFECTATION
VENDREDI 22 novembre
9 H 30 - 15 H 30 (salle CDI 1)
Lycée Jules Haag site Marceau (ex LP MONTJOUX)
25 rue du commandant Marceau BESANÇON
OU sur RDV
ANIMEE PAR LES COMMISSAIRES PARITAIRES NATIONAUX ET ACADEMIQUES ET DU SNETAA-FO
Marie-Jo HUGONNOT : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 06 08 64 57 94
Nicolas DEMORTIER : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - 03 84 78 40 99 - 06 08 23 88 22
Didier MARC : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Muriel POUGET : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

ISOE en Segpa...

ISOE en SEGPA : Le décret n°2019-1002 du 27 septembre 2019 étend le bénéfice de l'indemnité
de suivi et d'orientation des élèves aux personnels enseignants du second degré affectés dans les
EREA & SEGPA.

Nos collègues PLP en SEGPA attendaient cette mesure depuis très longtemps !

LE SNETAA-FO REÇU À LA DGESCO

COMMUNIQUE DE PRESSE du 22/05/2019
LE SNETAA-FO a été reçu ce mercredi 22 mai 2019 par le Directeur général de l’enseignement scolaire, M. Jean-Marc Huart.

Au sujet de la réforme de la voie professionnelle, le SNETAA-FO condamne les demandes pressantes et délirantes des inspecteurs de l’Éducation nationale auprès des collègues au sujet de la co-intervention ou du chef d’œuvre par exemple.
Le Directeur nous a assurés que des instructions ont été données pour que les recteurs soient plus vigilants sur la question.

Comme la certification est aussi repensée, le SNETAA-FO souhaite que les modalités de l’épreuve orale de français en CAP soient revues.
En effet, cette épreuve ne convient pas à nos élèves car elle fait appel à une année entière de connaissances, étant ponctuelle et terminale.
Cette question sera de nouveau examinée en groupe de travail.

Le Directeur a accédé à la demande du SNETAA-FO de créer des nouveaux diplômes au titre de l’Éducation nationale, dans le tertiaire, dans le domaine de l’aide à la personne, dans le numérique…
C’est aussi à cette condition que la voie professionnelle dans l’Éducation nationale conservera son attractivité auprès des jeunes qui pourraient être leurrés par l’apprentissage.
Nous attendons maintenant des actes forts.

Enfin, et c’est une exigence forte, le SNETAA-FO considère que les titulaires du 2 CA-SH doivent obtenir, par équivalence, le CAPPEI.
Nous pensons aussi que les collègues qui interviennent dans le cadre de l’enseignement adapté ou qui comptent dans leurs classes, en inclusion, des élèves porteurs de handicap doivent pouvoir prétendre au CAPPEI par VAE.
Le  Directeur  a  accueilli  notre  demande  avec  bienveillance  et  annonce  qu’il  prendra  des  dispositions avec ses services et avec la DGRH pour l’examiner.

Lire et télécharger le communiqué intégral

Fonction publique : Grève unitaire et manifestations le 9 mai prochain

LLes organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FAFP, FO, FSU, Solidaires, et UNSA de la Fonction publique affirment de nouveau leur attachement aux valeurs du service public et à une Fonction publique au service de toutes et tous, porteuse de l’intérêt général.
Depuis de nombreux mois, en dépit de leurs revendications et propositions, elles constatent que le pouvoir exécutif poursuit une politique contraire aux intérêts de la population, néfaste pour les missions publiques et pour les agent-e-s.
Le gouvernement pratique le double langage en prônant la modernisation de la Fonction publique et le respect des agent-e-s public-que-s, alors même qu’il ne revalorise pas leur rémunération, qu’il supprime des postes, engendrant une forte dégradation des conditions de travail, et veut affaiblir leurs droits et garanties.

LE SNETAA REÇU PAR LE MINISTRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Pour faire suite à plusieurs audiences au ministère depuis début janvier et à la demande expresse
du syndicat, Jean-Michel Blanquer vient de recevoir le SNETAA ce 22 janvier 2019 pendant
une heure et demie.
L’objet de cette audience était de faire un point global sur la réforme de la voie professionnelle :
DHG dans les académies, nouvelles grilles horaires bac pro et CAP, impact sur les ouvertures/
fermetures des sections, discussions dans les académies, nouveaux programmes, secondes à
« familles de métiers », bac pro GA...
Après un discours volontariste du ministre pour démontrer que la voie professionnelle est sa
« deuxième priorité » après l’école primaire, nous avons mis en avant toutes les difficultés qui
se font sentir sur le terrain. D’abord dans les DHG en ce moment en discussion avec les recteurs
: nous n’accepterons aucune interprétation injuste des grilles horaires pour le calcul des
DHG tant académique qu’au sein même des lycées pro. Des dérives semblent s’annoncer dans
quelques académies : nous avons demandé au ministre de faire appliquer strictement les grilles
horaires parues au BO.

Lire le communiqué de presse

POSTES AUX CONCOURS CAPLP 2019

 

À la session 2019, 1 905 postes sont offerts aux concours externe, interne et troisième concours de recrutement de professeurs de lycée professionnel (ce chiffre est identique à celui de 2018) :

● concours externe : 1 435 postes (1580 postes en 2018 / - 9%)
● troisième concours : 10 postes (10 postes en 2018) ; uniquement dans la section Mathématiques - physique chimie
● concours interne : 460 postes (315 postes en 2018 / + 46 %)

*Tableau récapitulatif de la répartition des postes offerts aux concours externe et interne.

Résolution de la Commission Exécutive Fédérale des 31 mai et 1er juin 2018

Défense des LP et des PLP
La CEF s’inscrit dans les résolutions adoptées par le Congrès confédéral, en matière de défense de formation professionnelle initiale public et laïque, pour la défense du statut des PLP : « La création et l’évolution de la formation initiale font partie des acquis du mouvement syndical.
Ainsi, de nombreux jeunes ont obtenu en lycée professionnel un diplôme national reconnu dans les conventions collectives et les statuts. Le congrès réaffirme également le rôle des EREA (Établissements Régionaux d’Enseignement Adapté) et des SEGPA (Section d’Enseignement Général et Professionnel Adapté) pour l’intégration des jeunes en grande difficulté dans le cadre d’une formation diplômante et le maintien de ces structures et de ses personnels. Pour le Congrès, tout jeune qui le souhaite doit pouvoir être scolarisé dans un lycée professionnel du CAP (niveau V) au BTS (niveau III), ce qui permettrait aux jeunes l’acquisition d’une qualification en fonction de leur demande.
Le Congrès exige, pour les personnels de la voie professionnelle, la garantie de l’accès et du maintien du statut national des fonctionnaires d’État et de leur statut spécifique, les Professeurs de Lycées Professionnels (PLP). Pour toutes ses raisons, le Congrès s’oppose au projet de loi dit «Pour la liberté de choisir son avenir professionnel».
Le Congrès refuse la mise en réseau des lycées professionnels et technologiques dans l’éducation nationale avec des CFA publics ou privés, des opérateurs privés de formation et des entreprises. Le Congrès refuse toute mise en place d’unités de formation pour apprentissage et de parcours mixtes dans les lycées professionnels qui mettrait en péril le statut de fonctionnaire d’état des professeurs de lycées professionnels. » (…)
« Le Congrès dénonce l’organisation de la mise en concurrence de la formation professionnelle scolaire et de l’apprentissage, contenue dans le projet de loi «Liberté de choisir son avenir professionnel». Cela induit un glissement progressif des lycées vers la généralisation de l’apprentissage.
Le Congrès condamne le mécanisme d’appels d’offres qui reviendrait à privatiser le système de formation et à confier l’ensemble de l’enseignement professionnel aux fédérations patronales. La précarisation des personnels de l’enseignement professionnel et de la formation professionnelle des organismes publics s’en trouverait aggravée. » (…)
La CEF approuve les positions prises par le SNETAA-FO face aux annonces du ministre qui prétend « transformer le Lycée professionnel ». Il s’agit d’agir en défense de l’enseignement professionnel et du statut des PLP :
- Refus des UFA dans les LP et de la mise en réseau des LP
- Maintien du rôle et de la place des CPC
- Maintien du diplôme intermédiaire
- Refus des suppressions des spécialités et disciplines
- Aucune suppression de postes
- Maintien des LP, EPLE spécifiques de la formation professionnelle initiale publique et laïque
- Refus de la généralisation des Campus des métiers, des Campus d’excellence
- Refus de la mixité des parcours et des publics
La CEF approuve la volonté du SNETAA-FO d’agir dans l’action commune pour défendre ces revendications.

Lire la résolution générale de la CEF

Fusion des académies : vers des Agences Régionales de l’Education ?

Le ministère vient de présenter un nouveau rapport sur l’organisation territoriale de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Il a décidé de franchir une nouvelle étape dans la régionalisation de l’école et le démantèlement des ministères en organisant le passage de 26 académies métropolitaines à seulement 13 régions académiques. Il s’agit d’accélérer le transfert des responsabilités de l’Etat au niveau de la région, pour répondre aux objectifs gouvernementaux en matière de suppressions de postes et de destruction des services publics et des statuts.
Le ministère veut aller vite:
Les recteurs de Régions doivent remettre leur projet de fusion avant la fin de cette année.
    Rentrée 2018 : transfert de toutes les compétences relatives à l’enseignement supérieur au recteur de région académique
    2019 : Fusion des académies de Dijon, Besançon, Lille, Amiens, Caen, Rouen, Aix-Marseille et Nice

Régionalisation de la gestion des personnels
«Les recteurs devront voir renforcer leurs compétences en matière de gestion de personnels avec la déconcentration au niveau académique de tous les actes de gestion (…)» Tout devrait être revu à l’aune de cette nouvelle gouvernance : l’affectation des enseignants, leur statut, le recrutement, la carte des circonscriptions, le statut des écoles et de leurs directeurs… Le rapport demande la poursuite de la fusion des CROUS et l’alignement des ESPé sur le nouveau territoire des académies.
Il préconise également un rapprochement des corps d'inspection des 1er et 2nd degrés, pour «une territorialisation efficace.» Quant à la prochaine étape, le ministère a déjà annoncé le transfert d’une partie des personnels d’orientation à la région…

Voir le communiqué FNEC 15 mai 2018

Mutations inter: un droit pour à peine 1/3 des PLP !

Les mutations des Professeurs de lycée professionnel (PLP) sont en cours au ministère.
Cette année encore, et pour la quatrième année consécutive, le droit à mutation des professeurs titulaires est laminé.
Seuls 32,5 % des PLP titulaires obtiennent une mutation. C’est donc près de 70 % des PLP à qui le ministre refuse une nouvelle fois une mutation.
Plus aucun espoir laissé aux PLP de rejoindre leurs familles, leurs intérêts personnels quand certaines académies très demandées par les PLP sont fermées à la mutation alors que les mêmes rectorats privilégient le recrutement de nouveaux contractuels pour faire face aux besoins réels, localement !

Lire le communiqué de presse SNETAA-FO du 26 février 2018

Le SNETAA-FO reçu à la DGRH

Le SNETAA-FO a rencontré en audience le Directeur général des ressources humaines du Ministère de l’Éducation nationale, Édouard Geffray, qui était accompagné de Florence Dubo,adjointe, responsable du service des personnels enseignants.

Le SNETAA-FO a mis en avant les difficultés des PLP, titulaires et contractuels, dans leur quotidien…
• les mutations quasiment bloquées : le SNETAA-FO réclame l’ouverture de capacités d’accueil;
• l’affectation en BTS trop limitée : le SNETAA-FO demande à ce que les élus de notre corps siègent en commission ;
• la situation des contractuels : le SNETAA-FO veut un plan de titularisation efficace pour ces personnels ;
• la souffrance au travail qui doit être traitée sur le terrain ;
• les formations en ESPE totalement inadaptées aux PLP : le SNETAA-FO veut que l’organisation actuelle soit revue ;
• les « secondes carrières » : le SNETAA-FO demande la possibilité pour les collègues de suivre d’autres parcours professionnels comme fonctionnaires d’État.

Lire l'intégralité du communiqué de presse "Le SNETAA reçu à la DGRH" (12 janvier 2018)

Retrait des ordonnances Macron contre le code du travail

La FNEC FP-FO dépose un préavis national de grève pour le 12 septembre.

La FNEC FP-FO a pris connaissance du contenu des ordonnances Macron sur le code du travail.
La FNEC FP-FO approuve la décision de la confédération FO de voter contre les ordonnances dans toutes les instances consultatives qui vont se tenir. Avec la commission exécutive confédérale FO, elle considère que «nombre d’éléments (de ces ordonnances) constituent une régression sociale et sont inacceptables».
En effet, s’appuyant sur la loi El Khomri que nous avons combattue, les ordonnances Macron cherchent aujourd’hui à aller jusqu’au bout des exigences patronales de baisse du coût du travail et de destruction des garanties collectives des salariés.

Contrats aidés : la FNEC écrit au ministre

Monsieur le Ministre,

C’est avec beaucoup d’inquiétude que nous avons appris la décision gouvernementale de réduire de façon  drastique  le  nombre  de  contrats  aidés – CUI.
Avec  notre  confédération  Force  Ouvrière,  nous demandons le maintien de tous ces contrats. 

L’austérité aggravée pour tous les fonctionnaires...

Les annonces du Premier ministre dans son discours de politique générale constituent une agression contre les fonctionnaires : rétablissement du jour de carence, gel du point d’indice, remise en cause de la grille unique de la fonction publique au profit d’une atomisation du point d’indice par versant (un pont d’indice par versant : état, territorial, hospitalier), suppression de 120 000 postes au moins, baisse de la masse salariale.
S’agissant du nombre des suppressions dans l’Éducation nationale, le ministère a indiqué que cela était encore soumis à arbitrage... ce qui est une façon de reconnaître qu’il y en aura.

 Lire la déclaration FNEC

CSE du 29 juin

Conseil supérieur

 

de l’éducation du 29 juin 2017

 

 

Déclaration de la FNEC FP-FO

 

Projet d’arrêté relatif au calendrier scolaire 2018-2019

Nous demandons le maintien d’un calendrier national unique pour les écoles, les collèges et les lycées ;
maintien de l’année scolaire sur 36 semaines, pas une de plus, conformément aux dispositions prévues dans le Code de l’Education.

Nous n’acceptons pas de pré-rentrée des enseignants avant le 1er septembre.

Nous demandons la fin de l’année scolaire avant le 1er juillet.

Nous demandons des garanties quant au fait que les deux-demies journées supplémentaires de pré-rentrée ne peuvent être opposées aux enseignants.

Certaines organisations ont défendu l’allongement de l’année scolaire, la révision des modalités des épreuves ponctuelles, terminales et anonymes des épreuves du Baccalauréat… C’est leur droit.
Pour sa part, la FNEC FP-FO estime que ce serait sous-estimer l’exaspération des personnels qui résistent à la dégradation croissante de leurs conditions de travail, et tourner le dos à leurs revendications urgentes.

 

Le projet d’arrêté du ministre a obtenu : 1 voix pour (le MEDEF), 53 contre et 8 abstentions

Lire le communiqué FNEC

 

 

 

 

La FNEC FP-FO reçue par le nouveau ministre de l’Éducation nationale

La FNEC FP-FO a été reçue, mercredi 24 mai par le nouveau ministre de l’éducation nationale,
Jean-Michel Blanquer, accompagné de son directeur de cabinet et de sa conseillère sociale.
Lors de cette première prise de contact, le ministre a indiqué vouloir se fixer pour objectif de
restaurer la confiance et d’agir avec pragmatisme, dans un ministère épuisé par les réformes.
C’est pourquoi il a indiqué qu’il n’y aura pas de Loi Blanquer.
Toutefois il a exposé ses axes de travail avec beaucoup de prudence, sa feuille de route sera
connue fin juin avec trois paliers : la rentrée 2017, la rentrée 2018 et le reste du quinquennat. Pour
autant le ministre entend agir avec cohérence, «mon équipe est prête, nous savons ce que nous
voulons. Ma porte est ouverte pour des relations directes avec les fédérations syndicales et mes
collaborateurs recevront les syndicats nationaux».

Lire la suite : La FNEC FP-FO reçue par le nouveau ministre de l’Éducation nationale

 

« Revalorisation » PPCR

Poudre aux yeux des discours & réalités du bulletin de paie
Des dizaines de milliers d’enseignants ont une paie de janvier inférieure à celle de décembre !

Nombre de personnels enseignants tant du premier que du second degré vont découvrir que leur
salaire net de janvier est inférieur à celui de décembre. Le ministère vient en effet d’annoncer
qu’une grande partie des maigres augmentations indiciaires prévues dans le cadre du PPCR est
différée en mars...

Lire le communiqué

Le tertiaire professionnel en danger !

Le SNETAA-FO appelle à la mobilisation !

Le gouvernement a décidé d'accélérer les réformes exécrables contre l’Enseignement Professionnel.
Il ne se contente pas des réformes en cours qui sont d'ailleurs très contestées ;
il multiplie les attaques à la veille du renouvellement électoral.

En savoir plus...

Signez la pétition

Projet ministériel sur l'évaluation : retrait !

La ministre a décidé de reporter l’examen des projets de décret sur l’évaluation des personnels enseignants, d’éducation et psychologues au 5 décembre.
Initialement, c’était le CTM du 16 novembre qui devait en discuter.
Depuis plusieurs semaines, les prises de position, souvent communes, se multiplient dans les écoles, les collèges, les LP, les lycées pour exiger le retrait du projet de réforme de l’évaluation.
Les personnels ne s’y trompent pas : le projet sur l’évaluation est inacceptable !

Communiqué du 7/11/2016

Projet d'évaluation des enseignants : une seule exigence, le retrait !

Transposition du PPCR aux personnels enseignants, d’éducation et d’orientation : toujours aussi inacceptable
Retrait du projet d'évaluation !
Le vote contre s'impose !

Le ministère a transmis ses textes définitifs sur la transposition du protocole PPCR (parcours professionnels, carrières,
rémunérations) aux personnels enseignants, d’éducation et d’orientation. Les modifications par rapport au projet sont
homéopathiques : rien n'est changé sur les grilles indiciaires, les rythmes d'avancement et la classe exceptionnelle. Les
modifications sur la grille d'évaluation ne changent rien au fond.
A six mois de la fin de son mandat, le gouvernement se presse de mettre en oeuvre ce que le précédent avait voulu faire sans
le pouvoir : remise en place de l'évaluation des personnels par compétences et entretien professionnel (le décret Chatel avait
dû être abrogé par M. Peillon grâce à l’action commune des syndicats) et création d'un grade fonctionnel (GRAF) tout en
annonçant une revalorisation qui n'est qu'un trompe-l’oeil.

En savoir plus

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