Lisez l'AP n°582 le 19 mars 2020. Affichages : 787 L’épidémie de coronavirus prend le pas sur tous les sujets en ce moment car il s’agit de la santé de tous. C’est un sujet mondial ; on voit bien que les décisions nationales sont interdépendantes des autres pays. C’est assez vrai pour la plupart des combats qui nous animent.À la fois on veut des décisions au plus près de notre quotidien et de l’autre, nos yeux sont rivés sur le monde.Ce n’est qu'un reflet d’un monde globalisé, interconnecté par la révolution internet.Cela oblige à muscler nos valeurs et, en premier lieu notre solidarité. Je suis tenté de parler de... fraternité.Le monde a les yeux rivés sur un virus. C’est la troisième épidémie mondiale en 15 ans et on se rend compte que nos vies quasi virtualisées sont rattrapées par ce qu’elles ont de plus essentiel.De plus simple : la vie, la santé, la mort, l’amour.À situation exceptionnelle, notre syndicat s’adapte pour que les fonctionnaires qui nous mandatent soient les mieux représentés...Extrait de l'éditorial de Pascal VIVIER, secrétaire général du SNETAA-FO (AP n582)